Ca rime par ici?

Parce que j'aime la poésie
Qui casse pas trois pattes à un canard
Venez par là les amis
Pour exprimer votre art!

Le concept est simple et enfantin
Rime embrassées ou croisées,
Vers libre ou alexandrin,
Le seul principe est de s'amuser!

On peut en faire dans toutes les langues ?

Encore en train de glander sur le forum au lieu de bosser hein 

Quand est-ce que tu apprendras le sens des responsabilités , à croire que nos conversations mumble ne te manquent pas du tout ! 

Les futurs mariés ont l'air déjà maladroits
A se retrouver tous deux sur serveur Mumble
L'homme prend le dessus, et le machisme s'accroit
Kyok s'écrase, ne dit rien, pas même à ses aïeules.


Alexandrins maggle.

Ce que tu dis n'a aucun sens.

Ta félonie n'a d'impact sur moi
Nous le savons tous, je suis le roi
Sur le trône, je dirige mes sujets
Qui je le sais, veulent me baiser.

Cette chute magnifique Aeryth 

Bof. Je trouve ça un peu nul.

Haters gonna hate.

Y'a qu'moi qui joue? :'(

Je te promets, je vais faire un poème qui déboite. Mais là j'ai la flemme.

Mouais, j'attends de voir ca.

J'ai retrouvé la noirceur des onyx
Dans l'ébène ancestral des Abraknydes.
Au milieu d'un combat et d'une rixe
J'ai récolté quelques troncs un peu vides.

Il me reste encore ma bourse à kamas
Pour affronter le plus beau des voyages,
Perdu ; mais jamais seul, car tu es là,
Pour accompagner mon pèlerinage.
J'attendrai encore un peu ton messages
Pour partir voir le monde que tu vois.

N.

On se mari quand ? J'ai toujours aimé les poètes.

Ah, navré, douce aurore, 
Mon coeur est déjà pris,
Et mes doigts vierges encore
Seront bientôt épris
De la couronne d'or.

Cependant mon amour
Se partage aisément ;
Vos yeux de firmament
Resteront pour toujours

Beauté des beautés, Splendeur des splendeurs
à mon coeur.

En ce premier soir de Mai, vint un fossoyeur,
curieux visiteur, en ces lieux oubliés...

Effrayé nullement
par toutes les chimères
Il allait tranquillement,
Au milieu des chafers.

En ce premier soir de Mai, vint un fossoyeur,
Pelle à ses côtés, et plume sur le cœur...

S'attelant à sa tache colossale,
Il s'assit tranquillement et sortit son journal.
Pour réveiller les plus grands des mystères :
La douceur des mots, et la beauté de l'imaginaire

Le fou, dont passait par là le chemin,
Ne put retenir un regard curieux
Envers ces vers bienheureux
qui provoquent l'émoi : "C bo putin"

Vous êtes magique 

J'étais perdu sur le bateau vers Otomaï.
Le gouvernail glissant filait entre mes doigts.
J'étais tout Atriisté de voir toutes les mailles
De mes filets se découdre encore une fois.

J'entendis d'assez loin un fou disant « putain »
Qui s'extasiait devant des coquillages amers
(Puisqu'ils étaient salés et venaient de la mer)
Qu'un ancien fossoyeur avait pris en butin.

Je lui tendis la main ; de l'autre avec ma plume
Je dessinai la carte qui l'aiderait à voir
Que ce qu'il cherchait en vain (son cerveau fume)
Etait sous ses orteils depuis avant-hier soir.

Je lui tendis la main ; il reprit son chemin
Partant de ces cimetières, osseux et trébuchants
Vers d'autres horizons plus glorieux, éclatants,
Voir dans ses propres mots ce qu'il ne voyait pas
Puisqu'il croyait toujours qu'ailleurs était trop bien
Et que dans sa besace il ne possédait rien
Alors que bien cachés, quelques perles d'étain,

Il conservait bien plus que ce qu'il avait là.

"Mon dieu, mais qu'est ce que j'fais là?
Pourquoi tant de haine... tant de violence?
Et tout ces gens grimaçants en bas...
N'ont ils donc aucune décence?"

Les voilà qui, sur mon ami, se ruent
Dans une parodie de tribunal où la pitié a disparu!
Pleuvent sur lui coups, bombes... et pelles!
"Adieu monde cruel!"

A peine le départ qu'il est deja temps
De se laisser aller, en écoutant,
Cette enivrante berceuse :
L'appel de la faucheuse.

Tels les caractères malheureux
D'un papier trop froissé,
Qui se sont fait écraser,
Dans ce combat "deja plié",
Nous sommes repartit, en comptant nos bleus.

Les poètes s'expriment :)

J'ai entendu l'angoisse exprimée par ses mort,
J'ai écouté ses peurs, j'ai récolté ses pleurs,
Et quand de rage ainsi vaincu il cira fort
En mon nom et sa peine et toute sa fureur,
J'ai écouté ses peurs, j'ai récolté ses pleurs,
Quelque part où dansaient au ciel des reflets d'or.

Je voyais dans son nom un métal aussi lourd
Qu'un ancien demi-dieu oublié, rappelé
A mes yeux par son invocation sans détour
Entre les souvenirs que j'ai réinventés,
Qu'un ancien demi-dieu oublié, rappelé
Lui dise à l'oreille : "Demain est un autre jour".

Non mesuré, non rimé, juste pour la beauté des images.

Dans la nuit d'obsidienne, au creux de l'onyx des étoiles,
La lueur du matin a percé des crevasses étrangères
Au rayon boréal.

L'étincelle qui vacille en l'espace d'un souffle,
Quelque part allumée, la bougie qui se meurt
Laisse apercevoir son dernier destin.

Le roi couronné se couche à nouveau seul,
Mais reste toujours accompagné de ce qui est
Toujours cher à ses yeux.

La pluie tombe sur l'aurore, les perles flottent à l'envers
En s'écrasant sur la terre encore sèche
Quand le vent souffle.

S'embraseront les arbres illuminés par le soleil
Quand s'arrêtera le jour sur le monde endormi
Et s'ouvriront les yeux des émerveillés.

Un soir où les étoiles sont tombées,
Il a laissé des pas dans la neige. 
Quelques gouttes de sang le suivaient
Sur le sol obscurci sur fond beige.
Il est parti un soir, désarmé, 
Valise préparée pour demain,
Des images en tête, bien incrustées ;
Quelques gouttes de vin le suivaient.
Et pourtant, marchant par les chemins,
Il a tourné la tête, regardé
En arrière, et il nous a souri :
Il se mit à neiger après lui.

N.